http://www.cotefenetrecotecouloir-sncf.com/fr

Des centaines de personnes qui mettent tout en oeuvre pour que le train arrive à
l'heure.
Un trajet aux côtés de tous ceux qui ménent la bataille de la ponctualité.

Des milliers de cheminots, qui en coulisses, travaillent tous les jours, 24h24
et 7J/7, pour faire que les 15 000 trains qui roulent tous les jours en france
circulent dans les meilleures conditions de sécurité, de confort, de ponctualité

Une navigation interactive inedite, une tête de lecture commune aux deux films
synchronisés permet de passer de l'un à l'autre à tout moment.

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  1. Si on veut être objectif il manque deux précisions. Le taux des cotisations patronales de la SNCF est plus élever que dans le privé, et le taux combine salarial+patronal est plus élever que dans le privé également. Enfin les subventions d'équilibre, concerne la différence du au déséquilibre démographique mais celui ci couvre que sur la base d'un départ au régime général. Le surcoût lié au départ anticiper et payer en faites par les cotisations patronales de la SNCF qui sont comme je l'ai déjà dit plus élever que dans le privé.

  2. Attention cependant, il n'y a pas vraiment de "cotisation" au sens strict, vu qu'il n'y a pas de caisse de retraite pour la fonction publique (caisse principale on s'entend, les salariés pouvant toujours prendre des complémentaires du type "prefon" à titre individuel).

    Dans le secteur privés, les actifs d'aujourd'hui cotisent dans une caisse, une sorte de pot commun pour faire simple. Les retraités du privé d'aujourd'hui sont donc payés directement en puisant dans ce pot.

    Pour la fonction publique, c'est différent. L'Etat a obligation légale de rémunérer les personnes qu'il emploi le temps de leur service, puis de leur donner une pension (retraite) une fois leur service terminé, et ceci jusqu’à leur décès. En d'autre termes, au même titre que les salaires, le paiement des pensions des retraités est directement pris sur le budget de l'état (budget qui provient des diverses recettes, impôts, mais également emprunt si l'état n'a pas assez de sous), et non supporté par les actif comme dans le privé.

    Vu que l'Etat donne de l'argent à un fonctionnaire, et que celui ci lui en rend un partie au titre de cette "cotisation", techniquement, il est juste payé un peu moins. Il n'y a pas de caisse qui collecte cet argent.

    Du coup, la perception du problème est donc différentes entre privé et publique, surtout d'un point de vu "temps" :

    Dans le privé, on craint que le "pot" ne soit pas suffisamment remplis pour les retraités du futur. La caisse se vide de plus en plus. Dès changements (modification du % de cotisation, rallongement du temps de travail, etc…) affecteraient principalement l'état du pot dans le futur.

    Dans le publique, les retraites sont un poids dans le budget actuel. Au moment où on parle d'objectifs, de déficit et d’endettement, il est facile de comprendre l’intérêt du gouvernement d'y toucher, et vite.

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