Pour nos étrennes, la SNCF nous traite comme du bétail

Conséquence du retard de l’express de 6h53 (départ de Chartres) en direction de Paris, le train de 6h57 était déjà plein comme un oeuf au départ de Chartres. A Maintenon, on se bousculait pour y trouver une place (debout). A Epernon, on montait au chausse-pied et à Rambouillet la rame 2NNG avait des allures de wagons à bestiaux. Le décor est planté pour 2010. Rien à espérer du côté de la SNCF pour améliorer les choses, à moins de croire encore au Père Noël !

0 Replies to “Pour nos étrennes, la SNCF nous traite comme du bétail”

  1. ça ne mérite pas le titre de voitures quand les sièges vibrent, quand on est entassés les uns sur les autres, qu'il n'y a même pas de chauffage en état de marche, que les toilettes sont trop souvent hors service, et que le ménage n'est pas fait correctement (regardez dans les grilles de climatisation et l'extérieur des trains, vitres comprises, où depuis des mois le seul endroit nettoyé c'est autour du bouton d'ouverture de la porte).

    Sinon voiture est de toute façon un terme spécifique SNCF, et il faut que le confort soit de mise, sinon cela reste un wagon ! Dictionnaire Trésor de la Langue Française informatisé (TLFi), entrée "voiture" : "Le terme voiture est un terme spécifique de la SNCF qui désigne des véhicules différents des wagons et des fourgons: Les voitures, destinées aux voyageurs, doivent répondre à une condition spéciale: le confort."

    Il n'y a guère que les voitures Corail qui soient réellement des voitures.

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